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Des institutions guidées par une vision collaborative et écologique de leur action.

la nécessité d’une meilleure collaboration

Les institutions doivent aujourd’hui identifier les possibilités de mieux coordonner l’élaboration de leurs politiques et de leurs actions. Celles-ci sont trop souvent élaborées en vase clos, traitant de secteurs ou de questions spécifiques, avec des objectifs parfois concurrents. A l’inverse, la vision collaborative et inclusive consiste à considérer ensemble plusieurs domaines de la politique, par exemple « environnement et santé », « économie et climat », « transport, aménagement du territoire et environnement » et à en identifier les synergies et les objectifs communs.

Cette vision collaborative doit est également permettre à l’Etat d’intégrer de nouvelles formes d’expressions politiques en compléments à ses réflexions. La démocratie participative permet d’inclure d’avantage la population dans les processus décisionnels. Dans les centres urbains et dans le domaine de l’aménagement du territoire par exemple, les idées sont nombreuses et se matérialisent sous des formes très variées.

les plans climat : une opportunité

En matière de climat, par exemple, l’élaboration d’objectifs transversaux (concernant, entre autres l’énergie, la biodiversité, l’agriculture, les transports, la santé) est selon moi une condition sine qua none à l’efficacité des actions à mettre en œuvre. J’observe que cette vision collaborative et transversale, libérée des silos, est de plus en plus utilisée dans l’élaboration des plans climats qui sont développés de façon participative, au niveau des communes, des cantons et à l’échelle de la Confédération. Il s’agit là d’excellentes opportunités.

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Activité au Grand Conseil

Participation (Pierre Zwahlen)